Les cours à philanthropos
Certains de ces cours ont lieu dans les locaux mêmes de l’Université. Ils sont planifiés de la même manière que les cours de l’Université sur les deux semestres de l’année universitaire.
Le suivi de l’ensemble des cours fondamentaux, incluant travaux personnels de lecture et préparation d’examens, est valorisé par 31 crédits ECTS.










Où ? Faculté de Théologie de l’Université de Fribourg
Que pouvons-nous connaître ? Depuis Kant, la question est incontournable. Le cours étudiera la portée et les limites de la connaissance sensorielle ainsi que la doctrine de l’abstraction. On présentera les grandes options de la question de l’universel. L’accent portera sur le réalisme critique. La théorie de la connaissance éclairera la place de l’âme humaine, et son immortalité.










Où ? Faculté de Théologie de l’Université de Fribourg
Le livre X de l’Ethique d’Aristote est consacré au bonheur. Il a suscité de vastes commentaires de la part de philosophes et de théologiens du XIIIe siècle. Après l’irruption de la révélation chrétienne, peut-on encore tenir l’existence d’un bonheur sur cette terre ? Si certains théologiens répondent par la négative, des philosophes (Boèce de Dacie) affirment le contraire. Thomas d’Aquin tiendra une position originale.










Où ? Faculté de Théologie de l’Université de Fribourg
Les Méditations métaphysiques de Descartes constituent un texte majeur de l’histoire de la pensée. Elles sont consacrées à l’existence du sujet humain, à sa liberté, aux preuves de l’existence de Dieu, et à l’existence du monde. Jean-Paul Sartre en commentera quelques passages, mais dans le but de souligner l’absolu de la liberté humaine qui y est contenu, et l’athéisme qui en découle à ses yeux. Ce dialogue est d’importance pour mieux comprendre notre situation présente, et la conception de l’homme qui s’en dégage.










Où ? Institut Philanthropos
Ceux qui ont étudié la philosophie morale dans les années 1950 et 1960 ont été confrontés à un choix drastique exclusif : d’un côté, l’utilitarisme de John Stuart Mill, qui détermine la moralité d’une action par un calcul quant à la maximisation du plaisir et la minimisation de la douleur pour le plus grand nombre de personnes, ou de l’autre côté, une éthique kantienne du « devoir pour le devoir » sans aucune interférence avec les émotions, les intentions ou les circonstances.